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Les chefs de parc qui ont géré des flottes d’entreprise depuis des années sont placés au cœur d’une révolution. Une révolution Verte portée non seulement par l’arrêt des motorisations thermiques en Europe prévu par la loi. Mais surtout portée par une direction clairement définie par les constructeurs automobiles sur une transition forte et massive de leurs gammes dans les 5 à 10 années qui viennent.
L’objectif pour les chefs de parcs entreprise est clair et complexe à la fois : répondre aux impératifs environnementaux définis par le législateur tout en s’adaptant à la réalité des offres constructeurs, la fiscalité et les enjeux sociétaux de l’entreprise.
Pour tenir le cap de cette transition, il faut dans un premier temps dresser un état des lieux du parc, à l’instant T. La transformation de la mobilité repose en cela sur la réalisation d’un audit de flotte également appelé audit de mobilité.
Lorsque l’on parle Audit nombreux sont ceux qui n’y voient que l’aspect financier de l’exercice. Or, ce n’est pas l’aspect le plus crucial face au défi de transformation de la mobilité que les entreprises doivent relever. En effet l’audit se base fortement sur la vision construite du passé en matière de la mobilité des collaborateurs. Or, le passé n’est pas forcément représentatif de ce qu’il faut faire pour l’avenir ! Il faut intégrer dans cette réflexion future la mixité énergétique et les alternatives douces tel que l’autopartage.
Le calendrier et les enjeux sont là : La Commission européenne veut la fin de la vente des véhicules thermiques dès 2035. Et il y a la complexité du choix ! En effet, « la mobilité électrique élargit le spectre de la réflexion.
Au-delà du choix du véhicule, il faut s’intéresser à l’écosystème de services qui s’y rattache comme les bornes de recharges publiques, les bornes en entreprise ou au domicile du collaborateur. L’entreprise se voit alors dans sa politique RSE à accompagner ces changements dans la vie personnelle du collaborateur.